Celui qui refuse cette évidence, plus il y a de riches, moins il y aura de pauvres. Et plutôt que de les expulser ou de les faire disparaître, comble de la bêtise, demandons-leur de collaborer à une assistance qui n’a pas recours aux emprunts d’ici ou d’ailleurs, que nous remboursons chaque année sans que se réduise une dette incommensurable. Qui plus est, montrons-leur la voie de leur libération de ces duperies qui les emprisonnent dans un destin indigne des progrès de nos sciences appliquées, ou d’un SMIG qui, condamnant les bons ascenseurs, réduit cette foule d’insatisfaits encadrés par des démons trop bien nourris. De la sinistre condition de troupeaux suicidaires et parmi eux ceux que la drogue condamne au pire, la dépendance aux hallucinogènes pour oublier. Il est heureux que des esprits pleins de sagesse nous invitent désormais au retour du bon sens populaire fidèle à une tradition généalogique, seule source d’informations incontestables, gratuites, sans publicité, pour le meilleur d’un renouveau

Pourquoi depuis l’avènement du minimum vital vers 1950, tant d’erreurs fatales nous confinent-elles dans un mal incurable ? Déclinée sous toutes ses composantes possibles, cette expression nous fait le denier Etat avant les plus défavorisés de la terre. Quand nous sommes celui de beaucoup de ses lustres. Aux pays qui nous entourent sont présentes les réponses à nos difficultés. De nouvelles initiatives y voient le jour. Mais nous restons séquestrés par ce qui fut peut-être un court moment compréhensible, aujourd’hui trop souvent la manifestation qui nous inonde de ses débordements et dégradations couteuses. Au pays du Baron Haussmann réputé pour ses créations de beaux immeubles en des avenues spacieuses, nous persévérons dans une politique du logement créée en 1948. Elle ne cesse d’afficher sa capacité à n’offrir trop souvent que pénurie, défauts, nids à rats. Cessons de tricher. Que ceux qui trouvent les réponses au cafés du commerce vivent en paix. Mais aux trains capables de record de vitesse immobilisés

Il n’est pas trop tôt pour mettre enfin nos espaces de dissentions au ban de la Société. Ces lieux qui accueillent tout ce qui contribue à nos impossibilités, qui font de la droite contre la gauche des allégories historiques, que certains réclament comme source d’une rémission, quand elle est son propre contraire, la propagation d’un mal incurable. La réduction des riches au profit d’une égalité est contestée dans les faits. Jamais nous n’avons comptabilisés autant de richesses. L’offre de l’art est à la portée de tous, sa générosité illimitée, la musique en étant l’exemple qui nous comble de voluptés toujours qualitativement en recherche du meilleur. Il ne fait ni grossir, ni maigrir, conséquences de malaises à l’infini quand il est bon d’en consommer sans modération. Alors, faisons de nos lieux de discordes, les destinations touristiques qui rappelleront les erreurs passées, dans une démocratie laïque pour ceux qui le désirent, mais afin que la paix soit sur la terre aux âmes de bonne volonté. Joyeus

Quand un premier ministre applique le programme de gouvernement pour lequel il a été choisi, quoi de plus naturel et légitime, surtout après une motion de censure repoussée. Quand il doit corriger les effets de mesures prises dans la tourmente d’évènements imprévus, et qu’il consulte avant de décider, il est bien dans le dialogue. Quand des journalistes obligent inlassablement, en boucles, à répondre à leur question ils ne sont que dans le monologue, soliloque en attendant les « pub » ! La démonstration du Premier ministre est de qualité. N’en déplaise aux détracteurs de l’exécutif en place, qui ne demandent que la poursuite d’une chienlit que subissent nos Présidents depuis trop longtemps. Même « le Général » a eu recours à la protection de l’armée en occupation avant de se retirer ! Il est nécessaire d’en finir avec cette habitude de derviches tourneurs embellissant leur garde-robe du gain de contrats généreux pour cultiver la polémique, attendant la fin d’un mandat, l’attente d’une élection, la lut

Toujours librement vôtre, Français d’abord Bernard Arnault, le PDG nordiste de LVMH rejoint le cercle prestigieux des Grand-croix, la plus haute dignité de la Légion d’honneur. Quand d’autres n’hésitent pas à placer hors de France la fabrication de produits nés en notre beau pays lui, homme fortuné s’il en est, continue de donner en exclusivité sa priorité au savoir-faire des meilleurs façonniers qui travaillent sur notre sol. En ces temps de combats internes pour une meilleure adéquation entre le monde du travail et les distributeurs, non seulement l’image est belle, mais ce qu’elle représente doit nous inciter à plus d’espérances de sortie de crise dans les pleurs, lamentations, et désordres monstrueux. Gloire à lui, au Panthéon de notre avenir que l’on croit sans issue